Catherine Davydzenka, alias Hortense dans Ici tout commence (TF1), n’a pas eu une enfance facile, notamment en classe, comme elle vient de le raconter dans un récent podcast.

Invitée du podcast Avec ou Sans Sucre d’Inès Vandamme, la star de Danse avec les stars et animatrice de TF1, Catherine Davydzenka s’est confiée sans filtre sur sa vie et sa carrière. La comédienne, qui est une des actrices historiques de la série quotidienne Ici tout commence, est notamment revenue sur son enfance et sa scolarité.

Catherine Davydzenka (Ici tout commence) se confie sur sa scolarité

“Je n’ai pas eu une enfance facile mais j’ai eu de très bons moments”, a ainsi lancé la comédienne à Inès Vandamme en précisant, sans détailler, qu’elle a fait face à des “moments plus complexes que d’autres” dans sa famille. L’interprète d’Hortense Rochemont dans ITC a été, par contre, plus loquace sur certains moments marquants de sa scolarité. “J’étais anticonformiste sans le savoir, je n’aimais pas vraiment qu’on mette des gens dans des cases, ça faisait de moi un truc un peu à part”, a-t-elle expliqué en détaillant son look de l’époque qui “lui a valu du harcèlement scolaire”. Celle qui est devenue depuis une star du petit écran grâce à ITC a ajouté que les problèmes ne venaient pas uniquement de ses camarades de classe. “Mon souci majeur, c’est que ça venait aussi de la part des profs. Je trainais beaucoup avec des lycéens quand j’étais au collège et avec des terminales quand j’étais en seconde”, a-t-elle expliqué avant de raconter le problème posé par l’un de ses projets de fin d’étude. “C’était sur la place de la femme dans les sociétés. J’ai fait des portraits de nu pour représenter ça. J’avais 15 ans et ça n’a pas du tout été bien reçu. On m’a dit que je ne pouvais pas faire ça et qu’on allait me mettre dans la même pièce que les projets parlant de pornographie”, a-t-elle détaillé en glissant qu’elle avait finalement refusé d’exposer.

Catherine Davydzenka “sexualisée” par des gens à l’adolescence

Eleve un peu à part, la comédienne a brillé dans les matières enseignées par des personnes “qui l’inspiraient” et avec lesquelles elle “aimait travailler”. Mais elle ne garde pas de bons souvenirs de tous ses profs. Certains “ne l’aidaient pas”, a-t-elle dénoncé dans le podcast Avec ou Sans Sucre d’Inès Vandamme. “J’ai eu des convocations dans les bureaux. On me disait que ce que je faisais n’était pas bien, que j’étais trop en avance, qu’il y avait des fous dans la rue. En fait, ils me sexualisaient alors que moi je ne voyais pas ça. Je mettais des jupes et des talons parce que ça me faisait plaisir. A posteriori, je me dis que c’est quand même fou de sexualiser les filles dès 14 ans. C’est un truc de dingue !”, a conclu Catherine Davydzenka.